Depuis mon dernier article lecture, j’ai terminé 10 livres de ma PAL ! Je commence par mes lectures de l’été ! Je ne suis pas sadique, je ne vais pas vous présenter 10 livres d’un coup. Pendant le mois de juillet, j’ai lu trois livres. En août, j’ai attaqué le cinquième tome d’Outlander. Ce livre faisant 1500 pages, j’arrive seulement au bout de ma lecture !
Mes lectures de l’été : des polars pour ne pas changer
Je reste dans mon registre de prédilection pour le mois de juillet : les polars.
Ils sont chez nous de Lisa Jewell
Trois cadavres et un bébé abandonné : c’est la macabre découverte que fait la police dans une demeure de Chelsea. Faute de preuves, on privilégie la piste d’un suicide collectif et l’affaire est classée. Pourtant, avant l’arrivée des « autres », la famille Lamb coulait des jours heureux. Mais il est des invités qui ont tendance à s’éterniser, et certains ne repartent jamais.
Le jour de ses vingt-cinq ans, Libby hérite de la maison où elle a été retrouvée bébé. Bien décidée à percer le mystère de ses origines, la jeune femme mène l’enquête au 16 Cheyne Walk. Mais est-elle prête à découvrir l’effroyable secret qu’on lui cache depuis sa naissance ? Elle ignore encore que quelqu’un, quelque part, donnerait cher pour la retrouver…
Un roman qui se lit vite et bien. Le malaise se sent très progressivement au fil de la lecture. Un petit thriller psychologique qui change. On a envie de savoir ce qui s’est passé dans cette maison ! J’avoue que je n’ai pas deviné la totalité de la fin. Nous allons de surprise en surprise et Lisa Jewell a su ficeler son histoire.
La Vallée Bernard Minier
Un appel au secours au milieu de la nuit.
Une vallée coupée du monde.
Une abbaye pleine de secrets.
Une forêt mystérieuse.
Une série de meurtres épouvantables.
Une population terrifiée qui veut se faire justice.
Un corbeau qui accuse.
Une communauté au bord du chaos.
Une nouvelle enquête de Martin Servaz.
Cet appel au secours n’est rien d’autre que celui qu’on attend depuis longtemps. Marianne est revenue et elle appelle Servaz, son mari, à l’aide. Allons-nous enfin savoir ce qui s’est passé avec Juliann ? Les chapitres sont courts, nous sommes happés dans l’histoire. J’avoue avoir eu du mal à décrocher.
L’homme miroir de Lars Kepler
Une adolescente se fait brutalement enlever en rentrant de l’école par un homme conduisant un vieux camion aux plaques d’immatriculation polonaises. Elle se retrouve, avec d’autres proies, dans une ancienne ferme d’élevage de visons perdue dans la forêt. La propriété est truffée de pièges à loup, mais “grand-mère”, qui est là pour veiller sur elles, n’hésite pas à sortir la scie pour les empêcher de s’égarer. Cinq ans plus tard, le corps d’une jeune femme est retrouvé pendu sur une aire de jeux dans le centre de Stockholm. L’inspecteur Joona Linna la reconnaît aussitôt : sa disparition avait longtemps fait la une des journaux. Quand le seul témoin potentiel se révèle incapable de les aider – souffrant de graves troubles psychiatriques –, Joona Linna décide de faire appel à son vieil ami, l’hypnotiseur Erik Maria Bark.
Sous le pseudonyme de Lars Kepler se cache un couple qui écrit en duo. Leur marque de fabrique ? L’horreur. On ne sort pas indemne en lisant Lars Kepler. Si vous êtes comme moi sensible, attention… Je sais je suis un peu folle, mais que voulez-vous, quand on aime… A chaque livre, j’étais abonnée aux cauchemars. Cela n’a pas loupé avec L’Homme Miroir. Ici les scènes d’horreurs ne sont pas passées sous silence, on les vit. Dès les premières pages, nous assistons à l’amputation d’une des otages pour éviter son évasion. Le suspense et la tension ne descendent pas.
J’arrive à maintenir en moyenne mon rythme de trois livres par mois. Le mois d’août est une exception avec Outlander mais 1500 pages, ça prend du temps à lire ! On se retrouve vite pour une prochaine revue lecture.