Déjà le mois de mai ! Les jours s’enchaînent… Je vous présente mes dernières lectures du mois d’avril. Le mois dernier, je vous présentais trois romans deux polars et une biographie. Pour ces quatre lectures, je ne vais vous présenter que des polars.
L’Affaire Alaska Sanders de Joël Dicker
Le retour de Harry Quebert
Avril 1999. Mount Pleasant, une paisible petite bourgade du New Hampshire, est bouleversée par un meurtre. Le corps d’Alaska Sanders, arrivée depuis peu dans la ville, est retrouvé au bord d’un lac.
L’enquête est rapidement bouclée, puis classée, même si sa conclusion est marquée par un nouvel épisode tragique.
Mais onze ans plus tard, l’affaire rebondit. Début 2010, le sergent Perry Gahalowood, de la police d’État du New Hampshire, persuadé d’avoir élucidé le crime à l’époque, reçoit une lettre anonyme qui le trouble. Et s’il avait suivi une fausse piste ?
Son ami l’écrivain Marcus Goldman, qui vient de remporter un immense succès avec La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert, va lui prêter main forte pour découvrir la vérité.
Les fantômes du passé vont resurgir, et parmi eux celui de Harry Quebert.
Si vous n’avez jamais lu les romans de Joël Dicker, je vous invite vivement à le faire. Il est préférable de commencer par le très célèbre La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert. Dans ce dernier roman, L’Affaire Alaska Sanders, nous retrouvons Marcus, personnage récurrent de Joël Dicker. Marcus, écrivain, va ré ouvrir l’enquête sur le meurtre d’Alaska. Nous sommes à nouveau dans une mise en abîme où le roman que nous lisons n’est autre que le roman écrit par Marcus. Le livre est très bien ficelé, c’est une merveille.
Que ta chute soit lente de Peter James
Au commencement était l’admiration, puis vint l’obsession… Pour Gaia Lafayette, chanteuse américaine en mal de reconnaissance, la proposition tombe à pic : elle va interpréter le rôle de Maria Fitzherbert dans la prochaine superproduction hollywoodienne tournée à Brighton. Une chance pour relancer sa carrière, le rêve de toute une vie… Pour le commissaire Roy Grace – déjà sur une affaire délicate et préoccupé par la libération prochaine d’un membre de la mafia qu’il avait contribué à faire condamner -, le cauchemar commence. Il se voit chargé de la protection de la diva lors de son séjour dans le Sussex. Une fan menaçante ne partage pas les rêves de Gaia Lafayette et l’a prévenue : « N’accepte pas ce rôle. Crois-moi. Tu l’acceptes, tu crèves. »
J’ai retrouvé le commissaire Grace dans la suite de ses aventures. Le style est assez redondant, Peter James répète souvent les choses. C’est agréable si nous prenons le train en route mais si nous avons déjà lu les romans précédents, cela peut être lourd. Toutefois, je suis contente de retrouver Grace et je suis très curieuse de connaître la vérité sur son passé.
L’enquête est bien ficelée, la comédienne Lafayette un peu particulière mais heureusement on ne la trouve que dans ce roman.
Que sonne l’heure de Peter James
Brooklyn, 1922. En pleine nuit, un petit garçon se terre au fond de son lit : quatre hommes viennent de pénétrer chez lui. Ils tuent sa mère et enlèvent son père, le n° 2 du gang des White Hands. Désormais orphelin, il embarque pour l’Irlande avec sa sœur et sa tante. Sur le bateau, l’enfant jure de revenir chercher son père. Brigton, quatre-vingt-dix ans plus tard. Une vieille dame est retrouvée chez elle, grièvement blessée. Elle a été torturée, son coffre-fort vidé et des œuvres d’art et antiquités pour une valeur de plus de dix millions ont été emportées. Roy Grace est chargé de l’enquête. Mais à chacune de ses avancées, quelqu’un semble l’avoir précédé, remontant lui aussi la piste des voleurs. Gavin Daly, le frère de la victime, un vieil antiquaire richissime, retiré des affaires, est déterminé à retrouver une vieille montre cassée, une Patek Philippe de très grande valeur, qui s’est arrêtée une certaine nuit de 1922…
Pour ce neuvième roman avec Roy Grace, Peter James nous plonge dans une histoire de cambriolage. Nous sommes ici au cœur de deux enquêtes : l’enquête officielle de Roy Grace et de son équipe, et l’enquête de Gavin Daky, qui souhaite retrouver sa montre et venger sa sœur.
Pour l’éternité de Peter James
Pour Red Westwood, Bryce Laurent incarnait tout ce dont une femme pouvait rêver. Jusqu’au jour où son attitude passionnelle s’est transformée en comportement obsessionnel. Peu à peu, jalousie, surveillance et violence sont devenues son quotidien.
Un an s’écoule avant que Red ne réussisse à se débarrasser de ce prince charmant métamorphosé en monstre et qu’elle puisse enfin reprendre le cours de sa vie. Mais le calme ne dure pas : le corps du Dr Murphy, une rencontre pourtant prometteuse, est retrouvé calciné dans sa voiture.
Bientôt elle ne peut plus nier l’évidence : Bryce Laurent ne l’a jamais quittée. Pire, il s’est juré de rattraper sa belle rousse et de la garder. Pour l’éternité.
Vous l’aurez compris, j’ai avancé dans les romans de Peter James. Ce roman est plus émouvant que les autres. Nous disons au revoir à un personnage important et Roy avance dans sa vie privée. Pour l’éternité est un roman que j’ai lu assez rapidement. Le suspect file entre les doigts des forces de l’ordre, s’en est agaçant ! Mais j’avoue que j’ai beaucoup aimé la fin !