La semaine dernière, je vous parlais d’Incurables de Lars Kepler, aujourd’hui je vous parle de la suite : Le marchand de sable.
Je l’ai, comme d’habitude, dévoré, oui oui j’ai tendance à dévorer les livres qui me plaisent !
Une froide nuit d’hiver à Stockholm. Un jeune homme est retrouvé déambulant le long d une voie ferrée. Il souffre d’hypothermie et à l’hôpital on découvre qu’il a également contracté la maladie du légionnaire. Il s’agit d un garçon disparu depuis de très nombreuses années. L’une des dernières victimes supposées du tueur en série Jurek Walter. Mais qu’en est-il de sa petite sœur, disparue en même temps que lui à l’époque ? Le temps presse et il sera enfin temps pour Joona Linna de se confronter à l’homme qui a détruit sa vie…
Je ne sais pas pour vous, mais moi quand j’ai lu ce synopsis, je n’avais qu’une envie me plonger dans ce livre. Encore une fois, j’ai adoré le style d’écriture du duo qui forme Lars Kepler. Les chapitres sont courts, bien décrits et fluides.
Le marchand de sable commence par là où Incurables s’est achevé : nous sommes auprès de deux médecins qui sont en charge du tueur en série Jurek Walter. Dans Incurables, nous n’avions pas beaucoup d’informations sur ces deux personnages. Les premiers chapitres du Marchand de sable sont plus précis, on en apprend plus sur ces deux personnes.
Dans ce livre, il n’y a pas de temps mort, comme je le disais plus haut, j’ai aimé la fluidité de lecture. J’ai également apprécié le fait que l’enquête actuelle sur la découverte du jeune homme, soit liée à une ancienne enquête de Joona Linna. On en apprend beaucoup plus sur l’inspecteur, sur son passé, son secret.
J’ai quand même un sentiment de mal-être en lisant ce livre. Dans certains chapitres, on se sent mal à l’aise, notamment avec le personnage malsain d’Anders Rönn. Malgré ce sentiment et ces passages glauques, j’ai adoré ce livre bien ficelé.
Je ne vais pas vous en dire plus, afin de vous laisser savourer ce thriller.
La suite est déjà sortie en librairie, il s’agit de Désaxé. Je pense que vous vous doutez que ça sera mon prochain achat !