J’ai connu Camilla Läckberg grâce à une copine à la Fac. Je voyais souvent ses livres mis en avant dans les librairies et mon œil était souvent attiré par les couvertures de l’édition Actes Sud. J’ai commencé par lire son premier tome : La princesse des glaces et j’ai de suite accroché avec le style de Camilla Läckberg, le premier roman terminé, je me suis rendue en librairie pour acheter les suivants ! Depuis j’attends avec impatience la sortie du petit dernier ! Le dompteur de lions est sorti en Mai 2016, soit deux après son dernier roman, La faiseuse d’anges.
Ce que j’aime dans les livres de Camilla Läckberg, c’est le fait qu’elle parle du présent et d’une histoire passée, ces deux histoires n’ont rien en commun, aux premiers abords, mais plus on avance dans le roman, plus on se rend compte que l’enquête en cours se déroulant dans le présent est liée à l’histoire passée.
Le dompteur de lions est donc le neuvième tome des aventures d’Erica Falk, écrivaine et de son mari Patrick Hedström, policier. Certes, il y a des répétitions, on le sait, à force, que Melberg est un feignant qui aime se mettre en avant, qu’Erica se mêle toujours de ce qui ne la regarde pas mais c’est ce qui fait le charme des personnages.
Avant de vous parler de ma lecture, voici la quatrième de couverture :
C’est le mois de janvier et un froid glacial s’est emparé de Fjällbacka. Une fille à demi nue, surgie de la forêt enneigée, est percutée par une voiture. Lorsque Patrick Hedström et ses collègues sont prévenus, la jeune fille a déjà été identifiée. Il s’agit de Victoria, portée disparue depuis quatre mois. Son corps présente des blessures qu’aucun accident ne saurait expliquer : ses orbites sont vides, sa langue est coupée et ses tympans percés. Quelqu’un en a fait une poupée humaine. D’autres cas de disparitions dans les environs font redouter que le bourreau n’en soit pas à sa première victime. De son côté, Erica Falck commence à exhumer une vieille affaire pour son nouveau bouquin. Une femme purge sa peine depuis plus de trente ans pour avoir tué son mari, un ancien dompteur de lions, qui maltraitait leur fille avec sa complicité passive. Mais Erica est persuadée que cette mère de famille porte un secret encore plus sombre. Jonglant entre ses recherches, une maison en perpétuel désordre et des jumeaux qui mettent le concept de l’amour inconditionnel à rude épreuve, elle est loin de se douter que pour certains, l’instinct maternel n’a rien de naturel…
J’ai essayé de savourer les pages, car je ne sais pas quand la suite paraîtra, bon je vous avoue qu’en une semaine il était terminé… Niveau dégustation, on repassera.
Comme d’habitude, j’aime l’écriture de Läckberg, elle est fluide. Comme dans tous ses romans : deux histoires en parallèle, celle du présent et une passée. On sait que ces deux histoires vont fusionner mais on ne sait pas quand. Il y a pas mal de retournements dans ce roman, je ne m’attendais pas du tout à cette fin et comme d’habitude j’ai toujours du mal à trouver le coupable.
Je trouve que ce livre est plus noir que les précédents mais il ne détrône pas mon roman préféré de l’auteur : L’enfant allemand.
Vous aimez Camilla Läckberg ? Laquelle des aventures d’Erica Falck préférez-vous ?